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NOUS AVONS LU Revue de la presse arménienne du 08 octobre 2019 Rédaction : Lena Gyulkhasyan. Attachée de presse et de communication. Ambassade de France en Arménie - par Stéphane le dimanche 13 octobre 2019 (extrait).
L'Éthiopie ouvrira des laboratoires d'ingénierie pour écoliers selon le modèle arménien. Un mémorandum d'accord a été signé entre l'Arménie. http://www.armenews.com/spip.php?page=article&id_article=18794 ___________________
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Le gouvernement investit dans l'éducation informatique dans les écoles secondaires d'Arménie « 50% des écoles secondaires d'Arménie disposeront de laboratoires d'ingénierie d'ici à la fin de 2020 » a déclaré le ministre de l'Éducation, des Sciences, de la Culture et du Sport, Arayik Harutyunyan au Congrès mondial des technologies de l'information de 2019 qui se tient à Erevan (cf. revue du 5 au 7 octobre 2019). Le gouvernement a alloué à cette fin un financement supplémentaire de 834 millions de drams (1,7 million de dollars) à l'Union des entreprises de technologie de pointe (UATE) qui utilisera cet argent pour ouvrir 284 laboratoires supplémentaires avant la fin de l'année. L'UATE a commencé à organiser des cours de robotique parascolaire et de programmation informatique pour des écoliers en 2008 afin de remédier à la pénurie de personnel qualifié, largement perçue comme le principal défi de l'industrie arménienne des technologies de l'information. Plus de 7 500 écoliers étudient actuellement dans ces laboratoires « Armath » équipés d'ordinateurs, de pièces de robot et d'imprimantes 3D. L'informatique est le secteur de l'économie arménienne qui connaît la plus forte croissance (croissance annuelle de plus de 20 % au cours de la dernière décennie). Il emploie plus de 15 000 ingénieurs et génère plus de 6 % du produit intérieur brut. Selon les experts, le secteur aurait connu une croissance encore plus rapide si la qualité de l'enseignement dans les départements informatiques des universités arméniennes avait été satisfaisante. Interrogé à ce sujet, le Ministre Harutyunyan a admis l'existence de ce problème dans l'enseignement supérieur.