NOUS AVONS LU Réforme du lycée : le ministère répond au SNPDEN
Sur le thème des seuils d'ouverture des groupes et du financement des enseignements optionnels, le ministère renvoie au pilotage de l'offre de formation, à la responsabilité des recteurs d'académie et à « des réponses adaptées au contexte ». Ainsi les aspects relatifs à ces questions « ne sauraient être arrêtés uniformément au niveau national » et « doivent prendre en compte les priorités académiques et découler d'un dialogue constant avec les établissements concernés ». La question de la possible mise en place de groupes allégés est, quant à elle, renvoyée au contenu des programmes à venir. Sur la question du nombre de combinaisons d'enseignements de spécialités et de leur prise en compte dans les organisations du lycée, le ministère indique bien – après avoir rappelé les possibilités laissées aux élèves et à leurs familles en matière de choix une fois la carte des spécialités arrêtée lycée par lycée par les recteurs – que « les spécificités de l'établissement peuvent ne pas permettre de donner une suite favorable à un des souhaits émis par la famille » « en particulier au regard des limites organisationnelles qui peuvent s'imposer dans la confection des emplois du temps ». Texte complet : ___________________ |