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L'avenir de la programmation : la programmation pour les non-programmeurs

Deuxième article (sur 6) de Rémi Sussan sur Internet Actu.net.

   « Programmer, c'est difficile : penser logiquement, par étapes, sans en sauter aucune et en envisageant toutes les possibilités de ses actions demande une grande attention, une grande rigueur. Mais à ces complications s'ajoute encore l'apprentissage d'une syntaxe extrêmement ardue, qui ne supporte pas la moindre faute, à la virgule près. Sans compter que ladite syntaxe nous prend à rebrousse-poil. La simple instruction A=A+1, que l'on trouve dans presque tous les langages informatiques, y compris le vieux Basic, pourtant censé s'adresser aux néophytes, semble une insulte à ce que nous connaissons des mathématiques depuis l'école primaire. On a déjà eu du mal à avaler les maths, faudrait-il maintenant les jeter aux orties ?
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   L'une des premières tâches de simplification consisterait donc à mettre au point des langages sans possibles erreurs de syntaxe.
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   Un des produits phares du genre, Alice, élaboré à l'université de Carnegie Mellon, permet de créer très rapidement des petits films interactifs en 3D... »

   Article très intéressant dans lequel l'auteur passe en revue différents langages susceptibles de convenir aux débutants en programmation :
http://www.internetactu.net/2011/05/24/lavenir-de-la-programmation-26-la-programmation-pour-les-non-programmeurs/

   Il s'agit de la suite de L'avenir de la programmation (1/6) : programmer, une activité culturelle ? signalé dans EpiNet n° 135 de mai 2011.

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Association EPI
Juin 2011

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