Informatique Maroc collège-lycée : Ignace Rak En novembre 2006 nous avions rédigé avec A. Hariri, Inspecteur d'informatique au Maroc, un document qui décrivait la création d'une nouvelle discipline obligatoire d'informatique, ainsi que les contenus des programmes auquel je demande aux lecteurs de cet article de se reporter pour connaître les orientations qui ont prévalu au Maroc [1]. Le présent document permet de compléter les informations sur le processus d'intégration de l'informatique dans le système éducatif marocain, notamment l'analyse d'un échantillon représentatif de quatre manuels sur les seize manuels scolaires disponibles sur le marché. En fait, depuis la mise en pratique de la charte, le MEN marocain adopte une politique de diversité en matière des manuels scolaires. Cette politique consiste à soumettre des cahiers des charges aux éditeurs qui rédigent des manuscrits (via leurs équipes d'auteurs), lesquels sont validés ou non par des commissions centrales. Les manuscrits validés sont homologués et distribués équitablement à travers tout le Maroc. En ce qui concerne l'informatique, les manuels homologués par niveau sont :
Les manuels officiels et homologués en informatique de l'échantillon permettent de dispenser les apprentissages de base et limités aux applications dans les autres disciplines qui les utilisent comme outils seulement. Avant de lire ce qui suit, vous pouvez relire la contribution collective de novembre 2006 pour resituer historiquement la décision de créer une nouvelle discipline informatique[1]. Je rappelle que :
La première année d'enseignement de la discipline informatique des troncs communs du lycée date de septembre 2005. Les troncs communs correspondent en France à la classe de seconde. La mise en place en collège se fait en septembre 2007. Les manuels informatiques destinés aux élèves sont donc parus pour la rentrée scolaire de septembre 2005 en lycée et en septembre 2007 dans les trois années du collège. Pour la première année du cycle secondaire collégial (collège), le manuel officiel homologué par le Ministère et que je décris, s'intitule « Découverte de l'informatique » [2]. Pour la seconde année du cycle secondaire collégial, le manuel officiel homologué par le ministère s'intitule « Découverte de l'informatique » [3]. Pour la troisième année du cycle secondaire collégial, le manuel officiel homologué par le ministère s'intitule « L'informatique moderne » [4]. Pour la première année des troncs communs du cycle secondaire qualifiant, le manuel homologué par le ministère s'intitule « Découverte de l'informatique » [5]. J'ai pensé que la description de la structure et des contenus de cet échantillon de manuels serait intéressante pour les enseignants français qui assument un enseignement de l'informatique intégré aux disciplines comme simple outil et non comme objet d'enseignement spécifique, sauf en technologie entre 1996 et 2008. En qualité d'expert du curriculum de technologie, mon intention est de décrire le contenu didactique et pédagogique de ces manuels sans analyser les choix sur les contenus. Je laisse le soin aux enseignants spécialistes informatique d'analyser les choix des contenus retenus car je ne suis pas expert des contenus informatiques. Chacun des quatre manuels d'informatique est décrit dans sa structure générale, d'une séquence ou d'activité d'enseignement, d'un exemple de contenu d'une séquence d'enseignement, et des annexes, puis suivi de quelques commentaires personnels.
Structure générale du manuel Trois parties (unités) organisent les contenus techniques et pédagogiques et chacune de ces unités est constituée d'un ensemble de séquences :
Une page de présentation décrit chacune des unités en quatre rubriques : « compétences », « séquences (objectifs spécifiques) », « pré-requis », « prolongements ». À la fin de chacune des trois unités, une activité « d'intégration » intitulée « j'intègre mes acquis » est prévue pour exploiter l'ensemble des savoirs abordés dans toutes les séquences de l'unité. Structure d'une séquence Toutes les séquences sont présentées suivant le même ordre de déroulement :
Exemple du contenu d'une séquence Dans l'unité 1, la séquence 2 (système d'exploitation) [6] :
1/Qu'est-ce qu'un système d'exploitation ? 2/Comment organiser le bureau de son ordinateur ? « Je retiens » : 1-Qu'est-ce qu'un système d'exploitation ? 2-L'interface de Windows Xp (le pointeur de la souris, le bureau, la barre des tâches, les icônes, la barre des tâches, le menu démarrer) ; 1/Comment exécuter et arrêter un programme ? 2/Comment manipuler les fenêtres sous Windows ? « Je retiens » : 3-Exécuter et quitter un programme. 4-Les fenêtres. 5-Les boites de dialogue ; 1/Qu'est-ce qu'un fichier ? 2/Quelles sont les caractéristiques d'un fichier ? « Je retiens » : 6-notion de fichier (qu'est-ce qu'un fichier, propriétés des fichiers) ; 1/Qu'est-ce qu'un dossier ? « Je retiens » : 7-notion de dossier (qu'est-ce qu'un dossier ? Arborescence) ; 1/Création d'un fichier. 2/Opérations sur les fichiers. « Je retiens » : 8-la gestion des fichiers (Explorateur, créer un fichier, techniques de sélection, la copie de fichiers, suppression de fichiers
Annexes
Structure générale du manuel Quatre parties (unités) organisent les contenus techniques et pédagogiques et chacune de ces unités est constituée d'un ensemble de séquences :
Une page de présentation décrit chacune des unités en quatre rubriques : « compétences », « séquences (objectifs spécifiques) », « pré-requis », « prolongements ». Structure d'une séquence Toutes les séquences sont présentées suivant le même ordre de déroulement :
Exemple du contenu d'une séquence La page de présentation de chaque unité a changé par rapport au manuel de la classe de 1re année du cycle collégial. Les objectifs spécifiques sont désormais inscrits dans la page introductive pour l'ensemble des séquences de l'unité. Ainsi les objectifs spécifiques de l'unité 4 « programmation logo » sont regroupés : définir les concepts : programme, programmation et procédure ; connaître les principales primitives du langage LOGO ; écrire un programme en utilisant un langage LOGO ; structurer un programme en se servant du concept de « procédure » ; appréhender la méthodologie de résolution de problèmes ; développer la créativité. Dans l'unité 4, la séquence (programme informatique) [7] :
1/Qu'est-ce qu'un programme informatique ? 2/Langage de programmation. « Je retiens » : 1-Introduction (programme, programmation, langage de programmation). 1/Découvrir l'environnement Logo.net. « Je retiens » : 2-Environnement Logo.net (console, historique, la tortue, la zone géographique, barre d'état) ; 3-Les primitives de la tortue ; 4-Démarrer Logo.net ; 5-Quitter Logo.net. 1/Déplacement relatif de la tortue. 2/Se repérer dans la zone du fond du graphique. 3/Déplacement absolu de la tortue. « Je retiens » : 6-Comment dessiner ? 7-Taille et type du trait ; 8-Couleurs ; 9-Texte ; 10-Message d'erreur ; Enregistrement du travail. 1/2/3/4/Boucles. « Je retiens » : Les boucles. 1/2/3/Procédures. « Je retiens » : Les procédures.
Annexes
Structure générale du manuel La structure générale de ce dernier manuel de troisième année pour le cycle du collège, est nettement différente des deux premiers manuels décrits précédemment. Cinq parties (unités) organisent les contenus techniques et pédagogiques et chacune de ces unités est constituée d'un ensemble d'activités :
Une page de présentation décrit chacune des unités en cinq rubriques : « compétences », « prérequis », « savoirs associés », « savoir-faire », « prolongements possibles ». Structure d'une unité Toutes les unités sont présentées suivant le même ordre de déroulement :
Exemple du contenu d'une unité [8] Dans l'unité 1 « Typologie des réseaux informatiques », la page de garde comporte la compétence : maîtriser les concepts de base relatifs aux différents types de réseaux avec les pré-requis système informatique, réseau informatique, réseau local, topologie de réseau, configuration matérielle d'un réseau. Les savoirs associés désignés sont LAN, MAN, WAN, réseau sans fil, Internet accompagnés du savoir-faire réaliser des schémas de quelques exemples de réseaux informatiques. Les « prolongements possibles » sont : réseau Internet et ses services, messagerie électronique, recherche documentaire. Une « activité de rappel », puis quatre autres « activités » sont proposées en liaison avec le contenu de l'« essentiel du cours » : notion de réseau informatique, topologie de réseaux, réseau LAN, MAN, WAN. Deux « exercices d'entraînement » essentiellement formatifs, non notés sont proposés pour identifier les types de réseaux dans huit situations différentes. La « synthèse du cours » se présente sous la forme de définitions sur les notions de réseau informatique, des trois typologies de réseaux. Les « corrigés des exercices d'entraînement » donnent les réponses aux huit questions. Six « exercices » de synthèse et d'application, toujours non notés, sont proposés. Les pages culturelles proposent un article sur l'histoire des réseaux. Annexes
Pour le lycée, l'introduction dès septembre 2007 d'une nouvelle discipline fait l'objet d'un manuel conséquent (240 pages) en reprenant une grande partie des manuels de collège mais en les complétant fortement. Structure générale du manuel Quatre modules sont retenus pour tous les troncs communs de la classe de seconde du lycée (sciences, lettres, originel, technologique) avec des chapitres pour chaque module :
Chaque module est présenté sur une page de garde avec « capacités ciblées », « capacités » et « savoirs associés », « prolongements ». Puis chaque chapitre est présenté avec un texte d'introduction en page de garde avec des « objectifs ». Structure d'un module Tous les modules sont présentés suivant le même ordre de déroulement :
Exemple du contenu d'un module [9] Dans le module 3 « Algorithmique et programmation », une page de garde concerne les deux chapitres :
Pour le chapitre 1, algorithmique, la page de garde décrit :
Cinq activités sont proposées : qu'est-ce qu'une démarche algorithmique, avec des « objectifs », trois « problèmes » et des « questions » associées ; éléments d'un algorithme, avec des « objectifs », des « questions » ; structure de contrôle conditionnelle, avec un « objectif », des « questions » ; structure alternative, avec un « objectif », des « questions » ; mise en oeuvre de conditions de traitement, avec un « objectif », des « questions ». Un « cours » synthétise le chapitre par des définitions et des exemples sur les connaissances de démarche algorithmique, algorithme, les instructions de base, représentations d'un algorithme, structures de contrôle. Le chapitre 1 se termine par onze « évaluations » non notées à partir d'études de cas. Le chapitre 2, programmation, contient dans la page de garde :
Deux « activités » sont proposées : qu'est-ce qu'un langage de programmation ? avec un « objectif » et trois « questions », comment utiliser le langage Pascal dans la programmation ? avec un objectif et cinq « questions ». Un « cours » synthétise le chapitre par des définitions et des exemples sur les connaissances de processus de résolution de problèmes, langage de programmation (introduction, définition d'un langage de programmation), le langage Pascal (présentation du langage ; structure générale d'un programme en Pascal avec la partie en-tête, la partie déclaration, le corps du programme) ; les instructions de base (l'affectation, les instructions d'entrée et sortie, un exemple de programme écrit en Pascal) ; les structures de contrôle (les instructions conditionnelles alternatives, les structures conditionnelles sélectives) ; application (analyse, la conception, codage de l'algorithme, écriture du programme source, la compilation, édition des liens, l'exécution). Ce chapitre 1 se termine avec cinq textes d'« évaluation » avec des questions sur des études de cas. Annexes
Mes commentaires Il faut ajouter que le contenu de cet échantillon de quatre manuels est abondamment illustré de schémas, photos et copies d'écran. Je propose trois points de vue personnels, à discuter, sur ces manuels : politique, didactique et pédagogique. D'un point de vue politique, ces manuels sont la concrétisation de la décision du Ministère de l'Éducation Marocain de mettre en oeuvre une formation disciplinaire de base et autonome aux NTIC (relire [1]). On y retrouve l'essentiel des compétences, savoirs, savoir-faire, mais beaucoup moins pour les savoir-être énumérés dans sa charte de septembre 2006. D'autre part la comparaison avec les orientations françaises en matière d'apprentissage aux TIC depuis 1996 qui privilégient d'une part une diminution de la responsabilité d'une discipline en confiant cette responsabilité à toutes les disciplines sans aucun contrôle national, et d'autre part la dimension « outil » au lieu et place de « l'objet » connaissances informatiques, marque les deux orientations fondamentalement différentes où le Maroc semble mieux asseoir que la France et contrôler la culture NTIC dans l'enseignement obligatoire collège et lycée. La comparaison de leur contenu pose par ailleurs les mêmes questions que l'on se pose actuellement en France depuis l'introduction des terminologies européennes dans le socle commun des connaissances d'un point de vue de communication didactique et pédagogique, et ceci pour l'ensemble les professeurs de collège et de lycée. Le point de vue didactique axé sur l'expression des contenus, c'est à dire la variation sur les termes employés entre le manuel de première année de collège et celui de la classe de seconde troncs communs de lycée, pose la question du changement de références dans les compétences des professeurs en poste et les formations des nouveaux professeurs en fonction des niveaux d'enseignement :
Contrairement à la France, la formation à la programmation et aux notions clés des technologies de l'information et de la communication au Maroc, est fortement présente, ainsi que l'entrée par les « connaissances » informatiques, alors que la formation en France évolue vers une entrée généralisante et abstraite par les « capacités » en minimisant de plus en plus les connaissances et supprimant les « compétences », donc de moins en moins disciplinaire et de plus en plus « transversales floues ». Au Maroc les connaissances informatiques sont par ailleurs très axées sur des applications générales, sauf peut être la programmation Logo, alors qu'en France les connaissances relevées dans le programme de technologie collège de 2008 [10] se répartissent entre des applications générales courantes et des applications industrielles ou tertiaires énumérées en charge à 98 % par cette seule discipline. Le point de vue pédagogique me conduit à souligner dans l'échantillon des quatre manuels une certaine constance des propositions de déroulement des séances ou séquences : activités d'apprentissage, puis activités formatives et évaluation sommative, même si ces dernières ne sont jamais notées. Or l'existence d'une note et d'un barème en fonction de réponses possibles dans un corrigé type est une phase incontournable de la préparation d'une évaluation sommative notée [11] qui si elle est ignorée, réduit à néant l'effort de préparation et de déroulement d'une séance. Il me semble par ailleurs que le manuel de première année de collège est relativement plus complexe que les suivants dans le déroulement en prévoyant des phases dites « d'intégration ». Ayant moi-même observé, il y a quelques années, l'activité des élèves dans des classes marocaines, et si les pratiques n'ont pas changé depuis, il me semble aussi que l'utilisation d'un manuel officiel homologué est un guide incontournable des déroulements et contenus des cours et de la progression chronologique annuelle que suivent avec attention, professeurs et inspecteurs. Si ceci est une contrainte forte, il reste que le professeur marocain a la possibilité d'utiliser l'une des nombreuses méthodes pédagogiques décrites dans le document de septembre 2006 [12]. Ceci est un garant, me semble t-il, de la qualité en même temps des contenus et de la liberté de choix sur la pédagogie. Je laisse aux experts informaticiens des contenus, le soin de donner un avis sur les choix concernant ces contenus, les logiciels retenus, etc. Depuis quelques années je me suis intéressé aux curriculums de l'enseignement des TIC dans l'enseignement obligatoire du collège en France. L'exemple de la création d'une nouvelle discipline obligatoire « informatique » au Maroc, consolide mon point de vue, ainsi que certains militants d'associations [13] [14], selon lequel une culture sur les NTIC ne peut être acquise sans une discipline totalement responsable de cela, et qu'ensuite seulement ces apprentissages puissent faire l'objet d'applications dans des disciplines et domaines divers. Cet échantillon de quatre manuels que j'ai lus avec plaisir est le témoin d'un engagement différent de celui de la France. Il est évident qu'il y aurait lieu d'analyser les douze autres manuels homologués pour compléter et confirmer ce premier point de vue descriptif [15] [16] [17] [18] [19] [20] [21] [22] [23] [24] [25] [26]. Il est par ailleurs intéressant de situer l'enseignement des TIC au Maroc par rapport à deux autres pays du Magreb, c'est-à-dire l'Algérie et la Tunisie comme l'a fait un chercheur en 2008, H. Abassi-Mouelhi [27]. Ignace Rak Contribution rédigée le 31 août 2009 pour : Bibliographie, sitographie [1] Ignace Rak et Abdallah Hariri, novembre 2006. « Maroc : l'informatique au collège, nouvelle discipline d'enseignement », [2] Chakir, L., Elhillali, A., Mohtadi, M. T. (2007). Informatique. Première année du cycle secondaire collégial. Société nouvelle. [3] Chakir, L., Elhillali, A., Mohtadi, M. T. (2007). Informatique. Deuxième année du cycle secondaire collégial. Société nouvelle. [4] Moudden, B., Oumad, M., Belkorchi, M. (2007). L'informatique moderne. Troisième année du cycle secondaire collégial. Casablanca : Maison marocaine du livre. [5] Elhillali, A., Mothadi, M. T., Hariri, A., Chackir, E. H. (2007). Découverte de l'informatique. Troncs communs. Société nouvelle. [6] Chakir, L., Elhillali, A., Mohtadi, M. T. (2007). Informatique. Première année du cycle secondaire collégial. Société nouvelle, p. 23-38. [7] Chakir, L., Elhillali, A., Mohtadi, M. T. (2007). Informatique. Deuxième année du cycle secondaire collégial. Société nouvelle, p. 85-116 [8] Moudden, B., Oumad, M., Belkorchi, M. (2007). L'informatique moderne. Troisième année du cycle secondaire collégial. Casablanca : Maison marocaine du livre, p. 10-24. [9] Elhillali, A., Mothadi, M. T., Hariri, A., Chackir, E. H. (2005). Découverte de l'informatique. Troncs communs. Société nouvelle, p. 145-180. [10] BOEN spécial n° 6 du 28 août 2008, Les programmes du collège. [11] Ignace Rak, décembre 2007, « Évaluation : les notes en technologie, la fin du cauchemar pour les élèves ? » [12] Ignace Rak et Abdallah Hariri, novembre 2006. « Maroc : l'informatique au collège, nouvelle discipline d'enseignement », p. 16-20. [13] Association Enseignement Public et Informatique (EPI) [14] Fédération des Associations françaises des Sciences et Technologies de l'Information (ASTI). [15] Bemounna, A., Echatouani, A., El Yaakoubi, T. (2007). L'informatique pas à pas. Première année du cycle secondaire collégial. Casablanca : Dar Nacher Al Maarifa. [16] Lamdaghri, M., Jarrad, H., El Ataoui, A., Saaoud, H., Lagham, N. (2007). @ Nous l'informatique. Première année du cycle secondaire collégial. Rabat : Almaarif. [17] Fikri, A., El Moukaraki, A., Rabid, A. (2007). Parcours informatique. Deuxième année du cycle secondaire collégial. Rabat : Almassar. [18] El Ibaoui, M., Kamar, Ouassih, H. (2007). Apprendre l'informatique. Deuxième année du cycle secondaire collégial. Temara : Fadaa. [19] Lamdaghri, M., Jarrad, H., Laataoui, A., Saaoud, H., Lagham, N. (2007). @ Nous l'informatique. Deuxième année du cycle secondaire collégial. Rabat : Amaarif. [20] El Manssouri, A., Haddi, A., EL Mabchour, M. (2007). Le chemin de la réussite en informatique. Deuxième année du cycle secondaire collégial. Rabat : Okad. [21] Lamdaghri, M., Jarrad, H., Laataoui, A., Saaoud, H., Lagham, N. (2007). @ Nous l'informatique. Troisième année du cycle secondaire collégial. Rabat : Amaarif. [22] El Manssouri, A., Haddi, A., El Mabchour, M. (2007). Le chemin de la réussite en informatique. Troisième année du cycle secondaire collégial. Rabat : Okad. [23] Bekourchi, M., Oumad, M., El Mouadin, B. (2007). L'informatique moderne. Troisième année du cycle secondaire collégial. Casablanca : Adar Almaghribia Lil Kitabe. [24] Lambarchi, M., El Affi, A., Miyara, F. (2005). Espace informatique. Troncscommuns en seconde de lycée. Rabat : Amaarif. [25] Zaki, M., Goumi, N., Hmajou, A. (2005). L'informatique au lycée. Troncs communs en seconde de lycée. Casablanca : Librairie des écoles. [26] El Manssouri, A., Haddi, A., EL Mabchour, M. (2005). Le chemin de la réussite en informatique. Troncs communs en seconde de lycée. Rabat : Okad. [27] Hadhami Abassi-Mouelhi, juin 2008. « Des politiques volontaristes et des démarches quasi similaires en matière d'intégration des TIC dans l'enseignement au Maghreb ». ___________________ |
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