« Klik apprend les principes de la circulation routière » Mariola Gańko-Karwowska « Klik apprend les principes de la circulation routière » est l'un des logiciels qui sont souvent compris par les enseignants comme « logiciels familiaux » c'est-à-dire destinés à être utilisés à la maison. Les enseignants soulignent leur petite valeur didactique dans la construction et la mémorisation du savoir et savoir-faire dans le processus d'apprentissage à l'école. J'aimerais présenter les possibilités de l'utilisation de ce type de logiciel dans la formation interdisciplinaire des élèves à l'école élémentaire polonaise. L'idée de la petite valeur de l'utilisation pédagogique des logiciels éducatifs dans le processus d'apprentissage est très courante (répandue) parmi les enseignants. Parlant des logiciels éducatifs, je pense aux logiciels disciplinaires construits pour l'éducation de langue, des mathématiques, de biologie, d'histoire, de géographie mais aussi pour présenter des fables sur les cédéroms. Principalement, le logiciel recommandé aux plus jeunes générations est perçu comme inutile. Évidemment, des enseignants utilisent ce logiciel, lui attribuant des valeurs de jouets et de divertissements. Dans ce contexte, il est utilisé dans une fonction du « cabochon » entre les étapes du processus d'apprentissage organisé sciemment. Le but de cet article est de démythifier ces schémas de pensées propagées et un essai de relever des avantages qu'il y a d'utiliser ce logiciel comme moyen éducatif (pédagogique) dans le processus d'apprentissage qui réalise (pendant son utilisation correcte) les fonctions suivantes :
Dans le caractère de matériel de recherche, j'ai choisi l'un des logiciels éducatifs produit en Pologne : « Klik apprend les principes de la circulation routière ». Outre cela, ce logiciel est l'un de ceux élaborés dans le cadre de la série Klik apprend... Du côté de ce logiciel, on peut trouver les versions consacrées aux mathématiques, (Klik apprend à compter), à la langue polonaise (Klik apprend des principes de l'orthographe ou Klik apprend à lire), à l'éducation musicale (Klik apprend à chanter) ou à la langue anglaise (Klik apprend la langue anglaise). Il existe évidemment des raisons pour lesquelles j'ai choisi ces logiciels :
Description du logiciel éducatif « Klik apprend les principes de la circulation routière » Le logiciel se compose de deux modules : celui de programme et celui de complexe (ensemble). La différence entre ceux-ci se trouve dans la composition différente de la structure des contenus élaborés. Dans le module « de programme » des contenus sont systématisés selon des options :
Le choix parmi l'une d'elles met en marche l'une des sphères de contenu. Du point de vue des programmes d'apprentissage « de l'éducation communicative », les deux premières options (« piéton dans la rue » et « véhicule sur la route ») comprennent des contenus réalisés pendant des leçons dans la classe première et deuxième, par contre « des signaux routiers » et « la communication en ville » reflètent des contenus réalisés dans la classe de deuxième et de troisième. Le matériel élaboré en forme de logiciel éducatif, peut être utilisé comme moyen didactique soutenant des processus de la cognition, de la consolidation et de la mémorisation du savoir par les élèves. Dans le module de complexe (ensemble), il n'y a pas un partage visible sur les problèmes thématiques et l'une des personnes participant au logiciel et choisi par l'élève (utilisateur) fait le service de guide sur le logiciel. À part cela, ce module comprend les mêmes contenus et il est construit sur la base des mêmes devoirs et des mêmes exercices. La construction de l'option : « des signaux routiers » selon les groupes de contenus et d'action ségrégation des signaux La planche contient 14 signes par groupe des signaux informatifs, de dangers et signaux d'interdictions. Il faut faire une ségrégation de ces signaux, en les mettant un par un dans une enveloppe marquée convenablement. Le marque des signaux répond aux formes des figures géométriques : un cercle – des signaux d'interdictions, un carré – des signaux informatifs, un triangle – des signaux de dangers. Après le placement d'un signal dans l'enveloppe convenable, un élève obtient une information qui caractérise le signal donné. Ce fragment du logiciel montre surtout un groupe de signaux informatifs (8 signaux informatifs, 4 signaux de dangers, 2 signaux d'interdiction) la coloration des signaux Cette partie du logiciel se compose de sept planches. Sur chacune d'elles, dans la situation illustrée, il y a un signal du groupe des signaux de dangers. La tache de l'utilisateur consiste à les colorer. L'élève obtient une information expliquant la signification du signal après avoir bien rempli son devoir. un choix de signaux pour les situations et pour les lieux L'utilisateur (élève) doit choisir et mettre chaque signal à sa place d'une liste proposée, contenant de différents signaux. Chaque signal doit être synchronisé avec la situation présentée sur la planche. Cette partie du logiciel se compose de quatre planches différentes. la composition des signaux répondant à la situation présentée sur l'image L'élève compose un signal convenable à la devinette dite par le lecteur. Ce signal n'est qu'une solution de cette devinette mais aussi il représente une situation indiquée sur une image. L'élève a à sa disposition quatre planches. la découverte des signaux informatifs Le dernier système de planche de ce module concerne des signaux de groupe « informatif ». Les signaux placés sur l'écran, sont tournés de cette façon que l'élève ne voit pas sa description graphique. Tous les signaux sont placés par deux, construisant une paire. L'élève doit chercher une paire pour chacun des signaux. Si l'élève ne trouve pas une paire convenable pour un signal, ces signaux se tournent, cachant leur description graphique. Les admissions prises La structure organisationnelle du processus d'apprentissage On a pris et on a réalisé trois structures organisationnelles du processus d'apprentissage en utilisant le logiciel « Klik apprend les principes de la circulation routière » : La structure de l'interaction didactique au caractère direct dans laquelle ce logiciel éducatif est utilisé en tant que matériel soutenant le travail d'un enseignant dans la transmission éducative organisée en groupe (toute la classe). L'enseignant a joué un rôle de « guide » verbal ce qui signifie que la voix de narrateur a été exclue. En plus, l'enseignant :
Il faut aussi souligner que ce logiciel a été un des moyens didactiques (pédagogiques) utilisé dans ce processus d'apprentissage. L'enseignant a utilisé aussi des maquettes de rue, véhicules et autres éléments de circulation routière, faite par ses élèves. L'enseignant n'a pas averti ses élèves d'auto évaluation prévue après la leçon. La structure de l'interaction didactique au caractère indirecte dans laquelle ce logiciel a été utilisé comme matériel soutenant directement le travail de l'élève dans le processus de la auto-formation dirigée. Cette auto-formation a consisté en travail indépendant de l'élève avec le logiciel. Par contre, la notion « dirigée » s'est limitée à l'explication aux élèves des buts et de la sphère de leur travail avec le logiciel éducatif « Klik apprend... » dans son option « des signaux routiers ». L'enseignant a informé ses élèves à l'auto évaluation prévue après la leçon. La structure de l'interaction libre de l'élève avec le logiciel. On a utilisé le logiciel Klik apprend... en convention « auto formation non dirigée » c'est-à-dire : en forme d'une interaction libre de l'élève avec le logiciel. Le choix d'une option « des signaux routiers » a été une seule demande adressée aux élèves. Contenus de la formation Dans les deux premières situations éducatives, les contenus de la formation (qui ont été prises soit dans la causerie problématique, soit, ils ont été suggérés aux élèves avant leur travail indépendant avec le logiciel) ont pris les mêmes problèmes théoriques. Ils ont été liés directement à :
L'enseignant a introduit des éléments de la langue anglaise dans l'interaction didactique au caractère direct. Après la leçon (un bloc de sujet) les élèves :
Conclusion Les résultats d'un test fait dans trois situations didactiques différentes : Ont montré, que les élèves du groupe 3 (l'utilisation libre de logiciel par les élèves) ont obtenu les résultats de test moins satisfaisants, également dans le domaine de la formation communicative ainsi que dans le domaine de la formation interdisciplinaire. Les réponses des élèves étaient fragmentaires et insuffisantes. Une structure de la notion et des buts bien systématisés leur manquent. Pendant leur travail avec le logiciel éducatif, les élèves se sont le plus souvent concentrés à obtenir de meilleurs résultats qu'ils en ont créés un but en soi-même. Le savoir concret, compris dans le logiciel, n'a pas construit le premier espace de cette interaction. « La course avec le temps » a constitué une base de championnat personnel pour ces élèves. On n'a pas aperçu non plus dans ce groupe de corrélation entre les contenus compris et réalisés pendant la leçon et :
Alors, une envie d'avoir un gain, pas un savoir et savoir-faire, a construit le but principal de l'interaction avec l'ordinateur pour les élèves. Groupes 1 et 2 N'ont pas révélé les différences essentielles au niveau des compétences dans la sphère de la formation communicative entre les élèves du premier et deuxième groupe ce qui peut signifier que le logiciel du type « Klik apprend des principes de la circulation routière » a accompli sa fonction cognitive et didactique dans le processus d'apprentissage et de l'auto-formation organisé sciemment. Ils ont montré les différences considérables dans le niveau de savoir et savoir-faire parmi les élèves de ces deux groupes. Les élèves participant dans l'interaction didactique au caractère direct, ont obtenu les meilleurs résultats au test que les élèves qui ont travaillé individuellement. Cela signifie qu'une interaction indépendante de l'élève avec un logiciel éducatif peut limiter les valeurs :
On peut niveler ces différences par un apport pour les élèves des matériels didactiques auxiliaires qui soutiendraient le travail interdisciplinaire de l'élève dans un contexte de ce savoir et savoir-faire déjà acquis mais aussi dans un contexte de la formation et/ou de la découverte de nouveaux espaces. On n'a pas aperçu non plus les différences essentielles dans l'activité verbale et non verbale des élèves pendant l'utilisation et l'application par eux de nouveaux savoirs et savoir-faire dans des situations réels. Les élèves des deux groupes ont initié le dialogue sur le thème de la réalité communicative pendant l'excursion. Il est très difficile de définir précisément un lien d'existence entre l'utilisation et l'application du logiciel éducatif dans son rôle de moyen didactique et la réalisation par ce logiciel des fonctions dans le processus d'apprentissage du premier type. Une barrière fondamentale dans la fixation du lien indubitable (incontestable) entre des éléments indiqués, est l'enseignant, surtout le niveau de :
Ce lien est pourtant visible dans l'interaction didactique de deuxième type dans laquelle le rôle d'un enseignant a été sciemment réduit mais pas éliminé. Il accomplit ici la mission d'un coordinateur qui systématise un savoir et qui prend l'initiative de faire éprouver un nouveau savoir et savoir-faire dans les situations réelles. Analyse des leçons réalisées avec le logiciel éducatif a permis de tirer un postulat que le logiciel éducatif du type « Klik apprend les principes de la circulation routière » peut être utilisé comme l'un de moyens dans la formation interdisciplinaire. Discutant des résultats d'observation par le prisme des contextes éducatifs choisis, on peut formuler les concluions générales suivantes :
Barrières Une barrière principale dans l'utilisation du logiciel éducatif (largement TIC) dans le processus d'apprentissage résulte, je crois, pas seulement, d'un manque de compétences des enseignants dans le domaine des TIC (ce serait injustifié de ne pas reconnaître / d'omettre cette question dans des réflexions détaillées) mais aussi d'un manque de la conscience et du savoir concernant les besoins et les possibilités de leur utilisation dans les interactions éducatives largement comprises. Dans le groupe des conditions principales créant le paysage mentionné, on peut surtout compter :
Une conséquence naturelle à se fermer dans une cage proverbiale « du schéma interprétatif » est une vue étroite des potentiels didactiques pris dans l'un des genres de moyens didactiques donnés ici : du type de logiciel. En conséquence, cela appauvrit le phénomène de l'élaboration de la structure du processus didactique, c'est-à-dire, cela rend impossible :
La perspective de l'analyse et de l'inscription du logiciel éducatif dans son rôle d'un moyen didactique admit par moi a un caractère seulement conventionnel. Le but de cette démarche n'est qu'une mise en relief des difficultés et des problèmes résultant de l'évitement des TIC, surtout du logiciel éducatif, en tant que l'un des moyens didactiques. Il est une chose évidente qu'il faut comprendre le système didactique dans la catégorie d'une analyse dynamique du système. Cela signifie, que le changement d'un élément entraîne des changements dans des façons d'analyse et d'interprétation des éléments suivants. L'ignorance de la chaîne des relations réciproques, influence directement la qualité et l'effectivité de l'interaction didactique. Plaçant cependant des moyens didactiques au centre de la réflexion, alors comme un point de départ de l'analyse du processus d'apprentissage, on cherche des réponses à la question suivante : Comment construit-on les autres éléments de la structure du processus didactique pour ces logiciels, utilisés dans le rôle d'un moyen didactique, accomplissant bien ses foncions : cognitive, didactique, formative, motivationnelle et éducative. La recherche d'une réponse à la question des besoins d'inscription du logiciel éducatif dans l'espace de moyen didactique soutenant le processus d'apprentissage, semble devenir le deuxième problème très important. Il s'agit surtout d'une motivation (justification) d'une thèse que le logiciel éducatif, compris comme jeu dans l'espace « auto formation non dirigé » d'un élève, n'accomplis pas qualitativement les mêmes fonctions que dans la situation de les utiliser sciemment en tant qu'un moyen didactique. La recherche et le discernement des réponses aux problèmes de recherche posées au-dessus ne sont pas quelques choses de très facile et équivalent. Ils sont empêtrés dans le système des réflexions sur les éléments singuliers et sur les étapes du processus d'apprentissage dans l'espace des bilans des profits et de pertes de l'utilisation du logiciel éducatif comme moyen didactique. Mariola Gańko-Karwowska Bibliographie Arends R. I. (1994). Uczymy się nauczać, WSiP, Warszawa. Bereźnicki F. (1994). Dydaktyka ogólna w zarysie, Miscellanea, Koszalin. Bereźnicki F., Świrko-Pilipczuk (2007). Dydaktyka kształcenia ogólnego, Impuls, Kraków. Bereźnicki F., Dydaktyka (2007). Wybrane zagadnienia, US, Szczecin. Cohen L., Lawrence M., Morrison K. (1999). Wprowadzenie do nauczania, tł. M. Wyrzyskowska, Zysk i S-ka, Poznań. Fenstermacher G. D. (2000). Style nauczania, WSiP, Warszawa. Joyce B., Calhoun E., Hopkins D. (1999). Przykłady modeli uczenia się i nauczania, WSiP, Warszawa. Klaus-Stańska D. (2004). Konstruowanie wiedzy w szkole, Wydawnictwo Uniwersytetu Warmińsko-Mazurskiego, Olsztyn. Phillips D. C., Soltis J. F. (2003). Podstawy wiedzy o nauczaniu, Gdańskie Wydawnictwo Psychologiczne, Gdańsk. ___________________ |
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