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NOUS AVONS LU Stic-Hebdo, n° 56 du 6 juin 2005 À lire, une interview de Pierre Landry qui vient de participer à la publication de l'ouvrage Le e-learning. La distance en question dans la formation ? (l'Harmattan).
En matière de formation il distingue, avec d'autres, les modes suivants : la formation institutionnalisée (la plus lisible), l'autoformation sociale (tout ce qui se fait dans le cadre des activités professionnelles, familiales ou sociales), l'autodidaxie (ce que l'on apprend en tant que personne, dans toute situation, où l'on réfléchit au pourquoi d'un apprentissage, où on lui donne du sens). Ce sont ces trois manières d'apprendre, dit-il, qu'il faut conjuguer dans le « multimodal », c'est à dire la mise en oeuvre de moyens variés, car une seule proposition d'organisation de la formation ne permet pas de mobiliser les facultés d'apprentissage de tout le monde. « ... il ne faut pas se polariser sur un seul point : trop investir dans la technologie et les supports, mettre tout l'accent sur l'enseignant, aussi bien que "mettre l'élève au centre", c'est accentuer le déséquilibre et négliger les interactions. Ce qu'il faut, c'est combiner les trois en tenant compte du contexte et faire du multimodal. » Mais pas grand chose de bien nouveau dans tout cela. http://www.asti.asso.fr/pages/Hebdo/sh56/sh56.htm. ___________________
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Informaticien depuis 1960, d'abord chez Bull, puis chez Control Data (les plus anciens se souviennent du projet Plato), Pierre Landry est passionné par l'autoformation et des technologies qui y contribuent.